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La numérotation Beruck expliquée par Christophe Beruck lui-même

Commentée et illustrée d’exemples issus de ma base de donnée dans laquelle je me sers de cette numérotation.

A noter qu’un autre généalogiste avait aussi illustré avec le logiciel Ancestris son usage de cette numérotation.

Lien vers l’article d’origine

La numérotation Beruck


Copie du texte original

Comme tout généalogiste, je me suis posé cette question : Comment numéroter chaque individu de ma généalogie ? En effet, si un logiciel trie toutes nos données pour nous, une fois que nous souhaitons les poser sur papier, cela devient vite un véritable capharnaüm si nous ne nous organisons pas. Je me suis donc mis à la recherche d’un système de numérotation pratique , mais n’en ai trouvé aucun qui me convienne. Pour ne citer qu’elles, les numérotations de Sosa/Stradonitz et d’Aboville comportent moultes lacunes. D’autres tentent d’y remédier, mais montrent bien vite leurs limites. En effet, s’il est possible de classer correctement nos ascendants et leur descendance, il n’est pas aisé d’inclure dans notre classement les alliés et leur famille. J’ai alors créé un système tout à fait complet, permettant de reprendre l’entièreté des individus sur des fiches classées suivant une numérotation logique.

Cas d’usage dans ma généalogie personnelle

Ma base (logiciel Gramps) est organisée avec la numérotation Beruck (BK) permettant ainsi de fournir ci-dessous quelques exemples d’utilisation. Vous verrez ainsi qu’elle n’est pas utile que dans le cas d’un généalogie sur papier. Je m’en sers notamment très souvent pour trier les individus par leur numéro.

SOSA

La numérotation Beruck se base d’abord et avant tout sur celle inventée par l’ami des généalogistes, Jérôme de Sosa. Le personnage central sur lequel vous bâtirez votre classement se nomme le de cujus et portera le numéro 1. Les ascendants de celui-ci obéiront à la règle qui veut que le père d’un individu soit représenté par un nombre égal au double de celui que porte son enfant, la mère étant représentée par un nombre égal au double de celui que porte son enfant plus un.

Image n'existant plus sur le site original, issue de Geneawiki

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Ma base filtrée et triée par BK représentant uniquement les Sosa:

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NUMEROTATION

Jusque-là, rien d’innovant. Passons donc au cœur du problème : les descendants des ascendants du de cujus. Pour numéroter un tel individu, il suffit de rajouter l’initiale de son prénom à celui de ses parents qui est le plus proche de la numérotation de Sosa du de cujus. La numérotation se base donc sur la filiation directe : un enfant n’aura comme début de numérotation celle de son père que si celui-ci est descendant de la lignée principale.

Les descendants directs (les enfants) de mes ascendants:

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SEXE

Les hommes sont représentés par une lettre majuscule, les femmes par une minuscule. Si le prénom est inconnu, l’initiale sera remplacée par le symbole mâle/femelle, suivant le cas.

Les hommes, ils portent une lettre majuscule finale:

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Les femmes, elles portent une lettre minuscule finale:

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Les personnes dont le prénom est inconnu ont alors l’initiale remplacée par le signe ♀ ou ♂:

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ALLIES

Pour numéroter un allié (un compagnon/une compagne), qui n’est donc pas un descendant d’un ascendant du de cujus (sauf exception :voir IMPLEXES), il aura la numérotation de sa moitié suivit du symbole « & » et de son initiale. Les enfants issus d’une relation entre un allié et un individu extérieur à la famille auront la numérotation de l’allié suivit de leur initiale. L’individu non allié aura la numérotation de l’allié suivit du symbole « & » et de son initiale.

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Les alliés:

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INITIALES

Le problème qui se pose est le cas fort courant de plusieurs membres du même sexe d’une fratrie (recomposée ou non) ayant les mêmes initiales. Il est alors donné arbitrairement à l’un des enfants problématiques le suffixe « 2 ». Il est évident que si nous avons X individus de même sexe aux mêmes initiales, nous rajouterons les nombres correspondants derrière l’initiale de chacun. Le « 1 » n’étant pas attribué, il y aura donc un de ces enfants qui ne comptera que son initiale. De même, si un individu a eu plusieurs conjoints et que ceux-ci ont les mêmes initiales, la règle du suffixe chiffré sera d’application.

Image n'existant plus sur le site original, issue de Geneawiki

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Les initiales avec suffixe numérique:

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PARRAINS/MARRAINES

Pour ce qui est des membres extérieurs à la famille, ils porteront la numérotation de leur filleul le plus âgé suivit d’un astérisque « * » et de leur initiale. Si un membre de la famille en parraine un autre, il ne sera pas représenté par cette numérotation.

Image n'existant plus sur le site original, issue de Geneawiki

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Parrains & marraines:

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IMPLEXES

Comme les individus issus de ce genre de situation peuvent avoir plusieurs numérotations, il faut donc respecter une priorité dans celles-ci. Il convient de prendre celle débutant avec le Sosa le plus petit. Si les différentes numérotations comportent le même , la lignée la plus directe (le moins de « & ») primera. S’il n’est toujours pas possible de les départager, la numérotation la plus courte sera de mise. Enfin, dans le cas d’individus issus de cousins germains dont les deux numérotations possibles sont les mêmes hormis la dernière lettre, celle du père l’emportera.

Ici le cas d’un frère (André, Antoine Joseph) et d’une sœur (Christine) qui sont tous les deux mes Sosas, respectivement BK/Sosa 36 et BK/Sosa 39. Leur père (Nicolas BK/Sosa 72), mais aussi leur mère (Devaux, Marie Anne, BK/Sosa 73), des implexes donc, est numéroté en doublant le numéro de Sosa le plus petit d’entre ceux du frère et de la sœur, la lignée la plus directe donc, en l’occurrence le BK/Sosa d’Antoine Joseph: